« sortir le travail de sa nuit »* souhaite ouvrir la voie à une réflexion transversale sur la notion d’invisibilité. il y est question de travail invisibilisé, de mécanismes globalisés, omniprésents et structurants, qui demeurent pourtant opaques, et de voix qui ne parviennent pas à porter, restant inaudibles des sphères publiques. il s’agit aussi d’élargir l’horizon pour examiner les phénomènes de la disparition et de l’effacement selon une focale plus esthétique, philosophique et poétique.